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[Parcelles Assainies] Amadou Bâ : « Je tends une main fraternelle à tous mes frères de parti ».

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Dans sa stratégie de conquérir les Parcelles assainies, le ministre Amadou Ba cultive la proximité et l’unité. Pour cela, il tend une main fraternelle à tous ses frères de parti.

« Le président de la République ne nous a pas demandé de travailler en rangs dispersés. Je ne suis pas dans les affaires de clan. Je ne suis pas en conflit, ni avec le ministre Abdoulaye Diouf Sarr, ni avec le ministre d’État Mbaye Ndiaye. Je tends une main fraternelle à tous mes frères de parti.» Ces mots sont de Amadou Bâ.

« Je suis venu aux Parcelles assainies pour travailler dans l’Apr. Si demain, le président de la République me demande d’aller à Grand Dakar, je partirai. Tout comme s’il me demande d’aller au Fouta, ou à Tambacounda en complément d’effectif, je le ferai », a indiqué Amadou Ba. S’agissant des élections législatives, il souligne ceci : « ce qui est important pour moi, c’est d’assurer une victoire importante au président Macky Sall, aux Parcelles, à Grand-Yoff, à Cambérène.» « La question de la liste sera tranchée par le chef de l’État. Je ne suis demandeur de rien du tout. Il espère accueillir, très prochainement, le président de l’Apr aux Parcelles assainies. Il promet même de faire le tour de toutes les familles des femmes présentes, pour recueillir leurs doléances. Amadou Ba, qui dit désormais déménager dans ladite commune veut être plus proche des populations où il sera présent les après-midis. Dans sa nouvelle maison, au rez-de-chaussée, est aménagée une salle informatique avec un wifi gratuit pour permettre aux jeunes et femmes de venir se former.

« Les apprentissages à distance pourront se faire gratuitement pour un investissement optimal. La seule condition, c’est d’accompagner le chef de l’État. Il faut qu’on apprenne à faire de la politique autrement », a poursuivi le ministre. M. BÂ qui compte rencontrer les jeunes souligne qu’ils sont une source de préoccupation.

Prenant la parole, le député Farba Ngom se dit rangé derrière toutes les décisions du chef de l’État. « Le dernier mot lui revient », a confié le parlementaire.

(Source : Le Soleil)

Par Benjamin

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