À la fin de ladite année, la gestion budgétaire a fait ressortir un déficit chiffré à 902,9 milliards, contre 537,1 milliards en 2019, renseigne la Direction de la prévision et des études économiques.
Une situation imputée à l’augmentation soutenue des dépenses publiques, dans un contexte de lutte contre la pandémie du Covid-19, combinée à une contraction des ressources internes.
Les ressources mobilisées, estimées à 2842,7 milliards, ont faiblement progressé (+1,9%), reflétant une forte mobilisation des dons (+44,5%) atténuée, toutefois, par une contraction de 2,6% des recettes budgétaires.
Quant aux dépenses, elles sont évaluées à 3745,6 milliards, soit un accroissement de 12,6% en glissement annuel.