Idrissa Seck depuis Touba jette des missiles à l’endroit du régime. Le patron du Rewmi estime que les bailleurs de fonds savent leur opportunité de placement sur certains domaines et si la rentabilité qu’ils doivent diminuer comme 1% de taux. « Sils voient un « Ngaaka » qui leur dit qu’il peut payer 6% ou 4,5%,, ils vont accepter », renseigne-t-il dans le journal L’Observateur.
Il est d’avis que c’est une obligation de libérer les opposants arrêtés lors de la marche. Ce sont ceux qui violent la Constitution qu’on devait arrêter parce qu’elle a consacré le droit à la marche.