Une note d’information signée par le Coordonnateur des juge de l’application des peines datant du 11 février 2019 a corsé les conditions de visite de l’ex député-maire, Khalifa Ababacar Sall, à Rebeuss. Dorénavant, le demandeurs devra satisfaire un certains nombre d’obligations avant de faire face à M. Sall.
Une affaire que bon nombre de sénégalais croyaient s’adoucir, prend une toute autre tournure. Et cela, en dépit de la page de la présidentielle tournée il y a quelques semaines. Désormais, pour rendre visite à Khalifa Ababacar Sall il va falloir au préalable « faire une demande adressée au coordonnateur des juge de l’application des peines, préciser l’objet de la visite, se présenter physiquement », selon Vox Pop.
Une affaire que bon nombre de sénégalais croyaient s’adoucir, prend une toute autre tournure. Et cela, en dépit de la page de la présidentielle tournée il y a quelques semaines. Désormais, pour rendre visite à Khalifa Ababacar Sall il va falloir au préalable « faire une demande adressée au coordonnateur des juge de l’application des peines, préciser l’objet de la visite, se présenter physiquement », selon Vox Pop.
Pourtant, avant et pendant même le scrutin, le détenu le plus célèbre n’avait rien perdu de son aura. L’on se souvient de la fameuse visite, et de surcroit le même jour de trois candidats de l’opposition. Tous animés par le dessein de l’avoir comme allié de taille. A noter que l’un des candidats déchus, Idrissa Seck s’y est rendu il y a seulement deux jours.
Qu’est ce qui peux expliquer une note aussi bien restrictive que coercitive si ce n’est le désire de « déplumer » un potentiel adversaire politique qui a su résister à l’usure du temps ? Wait and see…
