La tension qui a ponctuée la période pré-électorale va-t-elle s’accentuer ? En faisant un tour à Dakar, le constat passe de commentaires. Gendarmes et policiers sont visibles sur tous les points sensibles de la capitale.
Les renseignements généraux ont-ils transmis des informations en relation à un plan de déstabilisation du pouvoir ? Un coup de force est-il entrain de se tramer du coté du pouvoir ?
Le pouvoir est-il entrain de prendre les devants suite aux menaces de sabotages de l’opposition ?
Autant de questions que se posent les dakarois qui dans les rues, cohabitent avec le déploiement massif des forces de sécurité qui semblent être en alerte maximale. Les actes de violences verbales comme physiques notées ces derniers temps, prennent des proportions inquiétantes et risquent de compromettre la tenue dans le calme de la présidentielle du 24 février 2019.