Selon directeur de la Maison d’arrêt et de correction de Thiès, Mandiaye Ndiaye, les détenus ont été sensibilisés sur les risques liés à la grève de la faim. C’est sans doute ce qui les a poussés à mettre fin à cette diète, même s’ils n’ont pas dit les raisons.
A ce jour, 16 accusés sont en détention, à la Maison d’arrêt et de correction de Thiès dans le cadre des enquêtes liées au double meurtre survenu en 2012 à Madinatou Salam (Mbour).