Le journaliste Cheikh Yérim Seck peint le Chef de l’Etat Macky Sall comme un animal politique à l’émission « TOUT EST LA » de Mamadou Tounkara. Selon lui, le prédécesseur de Wade est trop fort en politique.
Il a été interpellé sur les congres politiques d’investiture de deux des partis politique les plus vieux du Sénégal. Il s’agit du parti socialiste (Ps) et de (Afp) de Moustapha Niasse qui ont investi respectivement le président Macky Sall. A en croire toujours, l’analyste politique, l’erreur commise par beaucoup de Sénégalais et qu’ils ont trop minimisé Macky Sall. « Je suis bluffé par ce qu’a réussi le président Macky Sall, honnêtement. Le fait de maintenir la coalition Benno Bokk Yakaar, tout le monde sait que le président Moustapha Niasse a toujours cru qu’il sera président de la République du Sénégal un jour », laisse-t-il entendre.
Cheikh Yérim Seck d’expliquer: « si le Sénégal était un pays où les gens ont l’habitude d’écrire, certains vont se pencher sur « l’animal politique Macky Sall ». Il a réussi à faire ce que personne n’a jamais réussi au Sénégal en maintenant une coalition de 2012 à 2019 ».
En ce qui concerne la réélection du président Macky Sall au soir du 24 février, il explique que si les gens se contentent des rapports de force concrets sur le terrain, le président a plus de chances de gagner l’élection présidentielle que les autres prétendants. Parce que pour lui, non seulement, la plupart des opposants transhument, mais également en dehors des forces qui l’entourent, Macky Sall détient l’appareil de l’Etat, avec des moyens financiers immenses. Il s’y ajoute le reflet légitimiste des populations surtout dans les campagnes.
Mais, précise-t-il, tout cela ne garantit pas à cent pour cent la victoire de Macky Sall , rapporte Léral. « Il n’est pas sûr de faire des prévisions en politique parce que le pouvoir appartient à Dieu ».
Cheikh Yérim Seck d’expliquer: « si le Sénégal était un pays où les gens ont l’habitude d’écrire, certains vont se pencher sur « l’animal politique Macky Sall ». Il a réussi à faire ce que personne n’a jamais réussi au Sénégal en maintenant une coalition de 2012 à 2019 ».
En ce qui concerne la réélection du président Macky Sall au soir du 24 février, il explique que si les gens se contentent des rapports de force concrets sur le terrain, le président a plus de chances de gagner l’élection présidentielle que les autres prétendants. Parce que pour lui, non seulement, la plupart des opposants transhument, mais également en dehors des forces qui l’entourent, Macky Sall détient l’appareil de l’Etat, avec des moyens financiers immenses. Il s’y ajoute le reflet légitimiste des populations surtout dans les campagnes.
Mais, précise-t-il, tout cela ne garantit pas à cent pour cent la victoire de Macky Sall , rapporte Léral. « Il n’est pas sûr de faire des prévisions en politique parce que le pouvoir appartient à Dieu ».