Et pour cause, ces enseignants soutiennent que l’Etat leur doit sept (7) mois d’arriérés salaire. Ce qui est inconcevable à leurs yeux. A les en croire, même après les alertes qu’ils ont eu à lancer, aucune réaction n’a été notée du côté du gouvernement tendant à les rassurer sur la posture de l’Etat de s’acquitter de cette charge.
Selon Moustapha Ndiaye, coordonnateur du collectif mis en place par ces enseignants, de nombreuses alertes ont été lancées, mais malgré leur réception par un comité chargé de trouver un compromis, aucun acte n’a été posé. Ce qui légitime selon lui, leur décision de ne plus distiller de cours aux étudiants.