«Les points de passage officiels restent ouverts et les populations vaquaient librement à leurs occupations, informe Libération. Le débarcadère de Podor en est une parfaite illustration : les pirogues qui assurent la traversée vont et viennent.»
En effet, les populations de l’Île à Morphil empruntés des voies non autorisées pour pénétrer dans le sol mauritanien et c’est pour réguler la situation que celles-ci ont été fermées. Cette décision a été appréciée par Dakar comme étant juste, renseigne le journal.