La mort de l’artiste international, Papis Gelongal sur l’autoroute à Péage qui a poussé l’Etat à vouloir réviser les clauses de concession continue de faire couler beaucoup d’eau sous les ponts. En effet Eiffage qui refuse d’en être le bouc émissaire renvoie la balle à l’Etat du sénégal qui n’a pas voulu intégrer dans son offre initiale l’éclairage et la création de plusieurs ponts sur l’autoroute.
Eiffage n’entend pas se laisser faire relativement à l’accident de l’artiste international sur l’autoroute à péage, Papis Gelongal. Accident qui a suscité une levée des boucliers de la part de l’Etat qui a martelé qu’il leur faut revoir les clauses de concession avec Eiffage. C’est sans compter avec cette société française qui n’entend pas se laisser marcher sur la tête. Pour Eiffage, dans l’appel d’offres international lancé pour la construction de l’autoroute, « la société Française avait intégré dans l’offre initiale l’éclairage de toute l’autoroute et la création de plusieurs ponts ».Mais, précisent-elles l’Etat du Sénégal n’en a pas voulu, préoccupé qu’il était de limiter les coûts. Dans l’offre que l’Etat a validée et qu’Eiffage applique, ajoutent ces sources, l’éclairage ne concerne que quelques parties sur l’autoroute à péage. C’est dire que malgré tout le tollé soulevé par l’Etat après la mort de Papis de Gelongal, Eiffage est donc blanc comme neige dans cette affaire. C’est plutôt l’Etat du Sénégal qui devrait revoir sa copie dans cet imbroglio dont il est l’unique responsable.