Ils sont au nombre de 250.000 familles issues de 30.000 ménages. Celles dont l’insécurité alimentaire menace leur quiétude. L’annonce a été faite lundi par le secrétaire exécutif du conseil national de sécurité alimentaire (CNSA), Jean Pierre Senghor.
En raison de la pluviométrie déficitaire, c’est « 30.000 ménages, 250.000 personnes qui risquent d’être en situation alimentaire difficile » dixit Jean Pierre Senghor lors d’un atelier d’identification des risques.
Le Nord du pays est cependant la zone à risque. Selon M. Senghor, « les départements comme Matam, Ranérou, Kanel et Podor sont à surveiller ».
C’est pourquoi, « tout le monde, l’Etat et nos partenaires techniques » sont en alerte assure-t-il.
A noter que l’atelier qui va durer cinq jours a pour objectif « d’analyser la sévérité de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle dans le pays afin de classifier et cartographier la nature et la sévérité de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle dans le pays ».