L’indignation est générale. Même Khalifa Sall qui croupit en prison, a eu la peine. Face à l’horreur de ce massacre en Casamance, Khalifa Sall, par la voix de son conseiller technique politique, a exprimé sa consternation et s’est incliné devant la mémoire des victimes innocentes.
Il présente ses condoléances et invite « le Gouvernement à engager toutes les mesures pour retrouver et traduire en justice les auteurs de cet acte ignoble. Le Gouvernement doit également prendre les dispositions nécessaires pour garantir la sécurité des personnes et des biens dans la région sud de notre pays.