Dans les deux rapports pondus : l’autre sur la gestion du COUD et le second sur la corruption dans les différentes localités du pays. Cependant, les deux rapports sont non seulement contestés par des personnes épinglées, mais aussi par un membre de l’institution.
Un membre de l’Ofnac évoque des «incohérences sur le document»
Le rapport sur la corruption, publié, ce mercredi, 20 décembre 2017 par l’Ofnac, en collaboration avec le Pnud, est contesté jusqu’au sein de… l’Ofnac. L’un des membres de l’institution, Amacodou Diouf, n’a pas contenu ses réserves.
«L’Ofnac a fait un Appel d’offres et le cabinet Synchronix a gagné le marché, confie-t-il à L’Observateur. Mais il est difficile de défendre les résultats de l’étude. Pour être sincère, je doute de la fiabilité du document, parce qu’il y a des incohérences.»
Avant Amacodou Diouf, le député Cheikh Seck a contesté ouvertement la fiabilité du rapport sur la corruption.