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Malick Thiandoum souligne les malheurs de l’arène

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Pour tout amateur averti, il est clair que la lutte a connu une saison 2016-2017 tronquée avec peu de combats et de grandes affiches. S’y ajoute la peine de 4 ans ferme infligée au promoteur Luc Nicolaï, Malick Thiandoum analyse froidement, mais sûrement les malheurs de l’arène qui continuent de plus belle.

Manque d’infrastructures

« C’est la guigne, un véritable cauchemar que vivent les amateurs de lutte cette saison. D’abord, il se pose un problème d’infrastructures car l’arène nationale ne sera prête que dans moins un an, d’après les experts. Demba Diop n’étant pas fonctionnel depuis l’accident qui s’y est produit.

 

En sus, le stade Léopold Sedar Senghor est trop grand pour recevoir à l’heure actuelle certaines affiches. Rien que cela est un vrai problème et des solutions sont en train d’être cherchées, même si c’est difficile », se désole Malick Thiandoum qui verrait le stade Iba Mar Diop comme une alternative, mais…

Promoteurs en rade, sponsors rares

L’autre problématique selon Malick Thiandoum est que les « promoteurs dénoncent les conditions de location de ces stades, en sus de la rareté de grandes affiches qu’ils ont du mal à monter. Et le nerf de la guerre qui est l’argent est quasi rare d’autant que les sponsors ont fui les travées des arènes depuis belle lurette. Tous ces reports des grandes affiches sont uniquement dus au manque d’argent car les promoteurs ne peuvent faire face sans sponsors », argumente l’animateur de Grand Combat qui énumère entre autres Eumeu Sène – Bombardier, Lac de Guiers 2 – Modou Lô ou encore Ama Baldé – Papa Sow.

(Source : Senego)

Par BN

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