Dans son arrêt, le TIDM considère que « le Ghana n’avait pas violé les droits d’exploitation pétrolière de la Côte d’Ivoire ».
Ce pays estime avoir un droit exclusif d’exploitation d’hydrocarbures dans une zone offshore disputée.
Le TIDM basé à Hambourg en Allemagne a calculé le tracé de la frontière maritime en utilisant le principe de l’équidistance défendu par le Ghana.
Cette carte s’impose désormais aux deux parties, selon l’Agence France Presse.
Le Ghana et la Côte d’Ivoire, s’opposaient sur le tracé de leur frontière maritime, qui traverse un gisement de pétrole offshore.
Les deux pays souhaitent exploiter ce gisement.
Par BN