Interpellé par le lutteur Bombardier via son amanager, assane Ndiaye n’a pas entendu longtemps pour repondre au lutteur.
«Je voulais bien leur donner le reste de l’argent, comme convenu dans le contrat. Si cela a tardé, c’est parce que le sponsor n’est pas encore passé à la caisse. Maintenant, il ne faut pas que le camp de Bombardier manipule la réalité. Lors de la signature du contrat, j’ai donné à Bombardier la moitié du cachet. Je lui dois l’argent du sponsor que je n’ai pas encore reçu», répond Assane Ndiaye.
«On ne peut encaisser l’argent d’un promoteur et vouloir lui donner un ultimatum. C’est plutôt le contraire qui est logique. Je ne me fais aucun souci. Si le Cng m’accorde la dérogation, le combat aura lieu le 13 août prochain», conclut-il
Par Benjamin