Cruciale pour la stabilisation du pays, la présidentielle en Côte d’Ivoire est fixée au 25 octobre prochain. Ce scrutin inquiète-t-il Alpha Blondy ?
Pour Alpha Blondy, il n’y a aucune inquiétude à avoir parce que «le peuple ivoirien n’a pas de problème». Le vrai souci, ce sont les hommes politiques à qui il demande de mettre «un peu d’eau dans leur vanité» ! 2010 est encore vif dans les mémoires en Côte d’Ivoire. Une élection présidentielle, deux candidats qui s’autoproclament vainqueurs et se livrent bataille. Cinq mois de violence et près de 3 000 morts.
Dans son adresse à la nation pour le 55e anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, le président ivoirien s’est «engagé pour que cette échéance électorale soit libre, ouverte, transparente et démocratique». Alassane Ouattara a exhorté ses compatriotes à sortir nombreux pour exprimer (leur) choix», car «toutes les conditions sont réunies pour des élections équitables, justes, dans un climat apaisé». Nous avons rencontré Alpha Blondy à Paris, la veille du 7 août, date importante pour son pays, la Côte d’Ivoire.
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